L’intelligence émotionnelle dans l’entreprise
(test EQi)
Corollaire indispensable de l’intelligence pragmatique, l’intelligence émotionnelle permet d’une part d’être plus heureux, car conscient de ses forces et capables d’identifier ses émotions parasites, et d’autre part d’être plus performant pour les mêmes raisons.
L’entreprise a donc tout intérêt à s’entourer de collaborateurs dotés de solides soft skills et par extension d’une bonne intelligence émotionnelle. C’est à dire de salariés capables d’identifier leurs émotions quand elles se manifestent, de les comprendre et de s’adapter, corriger des choses si besoin. Ce qui les rend disponibles pour accueillir celles de l’autre, sans biais ni sur-interprétation, et amène :
une bonne communication
une limitation des conflits
un socle de confiance en soi solide
un accès direct aux compétences et donc à la performance
Depuis 2021, je suis certifiée EQi 2.0, outil clé permettant de prendre conscience de ses forces et de ses zones de progrès en matière de gestion des émotions. Utilisé partout sur la planète, le questionnaire EQi est un outil normé, basé sur la recherche scientifique et constamment ajusté. Adapté au monde de l’entreprise, cet outil s’utilise individuellement ou collectivement.
3 options sont disponibles :
L’EQi 2.0 : formule individuelle comprenant le test EQi, le rapport compilant les résultats et une séance individualisée de débriefing d’1H avec moi pour identifier les zones de forces du salarié et les zones à renforcer, avec des pistes d’action à la clé.
L’EQi LEADERSHIP : cette formule reprend le mode de fonctionnement de l’EQi 2.0 mais avec un rapport et un débriefing orientés sur les compétences clés du leadership, qui sont évaluées selon une grille spécifique afin de permettre au manager de repartir avec des clés pour renforcer ces composantes du leadership.
L’EQi 360 : il s’agit cette fois de donner une dimension collective à l’exercice en faisant évaluer les compétences émotionnelles du salarié par lui-même mais également par ses collaborateurs, ses pairs, sa hiérarchie... Ce rapport met en lumière les compétences dont le salarié n’a pas conscience mais qui lui sont reconnues, celles au contraire dont il pense disposer mais qui ne sont pas perçues à l’extérieur, et identifie bien entendu ses forces ainsi que ses zones d’amélioration reconnues par tous.
Pour en savoir plus sur l’EQi en entreprise, contactez-moi.